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La crise financière du Liban est une « crise jumelle », c'est-à-dire bancaire et d'effondrement du taux de change. Le FMI a à sa disposition plusieurs prétextes pour réclamer la dévaluation d'une monnaie nationale : l'existence d'un choc d'offre, d'une dette externe, d'un déficit permanent de la balance des paiements. Il peut lui-même provoquer une fuite des capitaux et une crise bancaire par les rapports qu'il émet. Il est aidé en cela par les avertissements des agences de notation qui vont dans le même sens. La crise bancaire au Liban est liée à la sortie des dépôts. Elle conduit à l'effondrement du taux de change de la livre libanaise dès le moment où le choix a été de renflouer les banques en les empêchant de faire faillite et en émettant une quantité colossale de monnaie. L'auteur propose de sortir de la crise en renonçant au flottement pur de la monnaie et le retour à la fixité du taux de change, en instituant un « contrôle de change » et un « budget public d'investissement ».