Une utopie à l'imparfait

La peur, l'ignorance, fait faire aux hommes le pire. Mais à force de vouloir un monde trop parfait, il devient comme tout à l'imparfait. Heureusement des bons penseurs restent les anarchistes pour équilibrer les éléments, les pensées, les hommes et le monde.. Tout a commencé quelques années avant la prédilection des incas: de la fin du monde en 2012. Les éléments se déchaînent dans une chaîne qui se déroule de part le monde, de tsunamis, en bourrasques de vent, en ouragans, les amas de terre, les montagnes, les terrils qui s'écroulent comme des châteaux de sable s'abattent, arrachent les toits, les murs, les arbres. Mais le fléau n'est pas que de la nature qui se fâche. L'homme reste perfide, vénal, tue ou chasse les animaux pour le profit et le plaisir. La déforestation reste sa plus grande cruauté, alors que ses congénères ont ce qui leur faut pour abris ou meublés. Il pêche en surplus pour quelques pièces en plus, dans les hautes mers, et pollue les eaux de ses usines. Mais comme les OGM, on ne peut tenir les éléments dans une enceinte contrôlée. Car la nature à sa propre liberté.