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Kigali, 6 avril 1994, 20h23. Deux missiles prennent leur envol, l'avion du Président rwandais Juvénal Habyarimana explose, ses occupants sont tués sur le coup. Dans les minutes qui suivent, les militaires rwandais et les milices, chauffés à blanc depuis des années par une propagande meurtrière, enclenchent le génocide des Tutsi et des opposants hutu rwandais. Le responsable de cet attentat ? Le Front patriotique rwandais, selon le juge Jean-Louis Bruguière. Des milliers de documents judiciaires, de dizaines d'interviews, des centaines de coupures de presse permettent de montrer qu'il n'en est rien. Cette thèse négationniste, transformant les victimes en bourreaux, résulte d'une convergence d'intérêts. Un juge très " politique ", une France officielle frileuse dans la recherche de la vérité, des barbouzes, des opposants au régime et des génocidaires soucieux de diluer leur responsabilité, tous avaient intérêt à pointer le président Paul Kagame du doigt.