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« De cette sauvagerie obtenue, gagnée sur le vide contre la ligne claire, de cette sauvagerie remportée malgré tout contre les forces puissantes de la volonté, que dire sinon l'épuisement - qu'écrire sinon. S'il suffisait de nommer le geste contre l'intention, on s'en tiendrait là - sauvagerie du survenu, de l'accident, de l'accident nécessaire à la reconnaissance d'une sauvagerie qui frappe au coeur des choses. Alors, de quels fonds venus ? » Arnaud Maïsetti, postface à Où que je sois encore... On a tous en tête le fabuleux monologue par lequel Koltès a conquis sa maturité : La nuit juste avant les forêts. Et si on inventait une autre manière d'entrer dans un texte aussi fondateur ? Non pas selon l'approche critique, mais en se plaçant au même endroit, d'une bascule pour soi-même, une traversée de nuit, dans le contexte de la grande ville mouvante, dangereuse ? Maïsetti entreprend ce journal d'une nuit, questionnant à mesure sa propre avancée : ce qu'elle désigne de la ville, des territoires arpentés, ce qu'elle interroge en soi-même, et par quelle écriture. Ainsi, de la tentation lyrique : retourner les voix sur l'abîme qui les fait surgir. Interroger le cri, décaper le regard, poser les fondations d'une nouvelle approche de l'écriture de la ville.